mercredi 16 janvier 2008

RENDU POUR LA CONSIGNE 3


Introduction:

J’ai imaginé une infrastructure d’informations certainement utopique vu que je ne suis pas un expert en économie, en communication et encore moins en informatique ! Voici tout de même mon idée :


Mon projet vise avant tout à s’appuyer sur le succès des sites du Web 2.0, pour tenter de faire du profit et créer des places de travail (pas seulement journalistiques). Mon objectif a alors été d’imaginer un système d’informations stable et fiable, donnant le maximum de postes de travail et boostant l’économie. Parallèlement je voulais que la création de ce système d’information n’engendre aucune concurrence, ni cartels, etc. J’ai donc eu l’idée ambitieuse de relier la quasi-totalité (le maximum) des S.I du monde entier et faire qu'ils forment une unité ; qu’une sorte de chape de plomb les abrite tous. Ci-dessous, vous trouverez une esquisse du schéma que je me représente pour exprimer mon projet (cf. image 6). Juste après vous pourrez consulter les légendes relatives au schéma. Enfin, je donnerai une explication plus détaillée de mon projet et essayerai d'en expliquer les avantages.


---

Schéma:






Légendes pour le schéma au-dessus:

- Etoile rouge = Agences de presse et de photos (ex : AFP, Keystone, etc.)

- Carré jaune = Sites d’informations du Web 2.0 ; comprenant des serveurs, des prestataires, des « hébergements », etc. (ex :
www.20minutes.fr, etc.)

- Petit rond bleu = Internautes actif dans le Web 2.0 (utilisateurs contribuant à l’évolution des sites d’informations du Web 2.0)

- Grande ellipse orange : Réseau social (ce que je désigne par un réseau social, c’est un agglomérat d’utilisateurs actifs sur le Web 2.0 ; ils sont tous reliés à leurs sites favoris d’informations.)

- Trait noir fin = Exprime la relation entre l’internaute actif et les sites d’informations du Web 2.0.

- Trait noir épais = Exprime la relation unidirectionnelle que les agences de presse et de photos entretienne avec les sites d’informations du Web 2.0.

- Trait vert épais = Exprime la relation entre les réseaux sociaux. Cette relation est très importante, elle permet que tous les utilisateurs du Web 2.0 échangent leurs propres articles, qu’ils agrandissent leurs forum de discussion, que les réactions soient plus nombreuses. Ainsi les informations évoluent et se multiplient très vite.



---

Développement du projet:

Avant de continuer l'explication de mon projet personnel, j'aimerais rappeler comment fonctionne actuellement grosso modo un système d’informations sur le Web 2.0 : les agences de presse envoient leurs dépêches aux sites Internet --> ces dépêches sont transformées sous forme d’articles --> ces articles sont lus par les consommateurs --> ceci engendre des forums de réactions, des blogs, … bref, une communauté s’établie autour des sites = réseau social. Voici un schéma qui illustre ceci avec 3 systèmes d'informations distincts; cf. image ci-dessous 7.




Dans mon projet de S.I, les choses changent; il est évidemment indispensable de conserver le contact entre agences de presse (ex: AFP) et médias (ex: 20minutes.fr), car cela forme une base informative. Le changement que j'envisage tout de même à ce niveau consisterait à établir une collaboration entre toutes les grandes agences de presses ; leurs prestataires devraient accepter d’envoyer leurs dépêches à TOUS les grands « supports informatifs informatiques du Web 2.0 » (20minutes, Wikinews, etc.).

Les agences de presses leurs envoient alors respectivement (à tous) leurs dépêches. Puis les prestataires des sites d’infos vont alors traiter les dépêches et les publier sous forme d’articles. Une fois les articles publiés sur les sites, les internautes en prendront connaissance et certains d’entre eux vont y réagir en émettant des commentaires, en ouvrant des débats écrits, en approuvant l’info, en la démentant, en écrivant de nouveaux articles dérivés, etc. Tout ceci forme selon moi, une nouvelle sorte d’information, que l’on pourrait qualifier d’info-digérée. Cette information digérée est donc née des relations entre sites informatifs du Web 2.0 et internautes actifs sur ses sites ; tout ceci réuni forme à son tour, ce que nous avons appelé pendant les leçons, un réseau social (d’informations).

Au jour d’aujourd’hui, je crois qu’un réseau social s’établi principalement autour d’un seul site Web 2.0. C’est pourquoi j’ai eu encore l’idée de relier entre eux TOUS les réseaux sociaux d’informations, afin d’agrandir considérablement l’espace où est véhiculée l’information. Ainsi, un site comme 20minutes pourrait entretenir un lien direct avec un autre site comme Cafebabel et ainsi de suite. Je parle de lien « direct », car les deux sites possèdent déja un lien indirect ; en effet, ils sont tout deux reliés aux mêmes agences de presse et des photos. Bref, le but est de mettre en rapport direct, le maximum de réseaux sociaux d’informations, y compris ceux qui ne communiquent pas dans la même langue. Voici le schéma que je propose pour ce nouveau S.I "mondial"; cf. image ci-dessous 8.





Travailler ainsi, va amener une difficulté, il va falloir engager des traducteurs dans chaque réseau social d’information, afin de traduire le contenu des articles. Mais au préalable, il y a d’autres éléments dont il faut se préoccuper. D’abord, il faut que l’information dite digérée soient contrôlée et évaluée car elle n’est pas écrite par des professionnels. Dans chaque réseau social, du personnel sera donc chargé de sélectionner l’info qui est destinée à être diffusée plus loin dans le monde. Mais ce n’est pas tout ; car l’information qui a été sélectionnée, pour pouvoir réellement subsister, devra à nouveau être modérée à son entrée dans un nouveau réseau social. En effet, il sera nécessaire que les données soient à nouveau filtrées par du personnel, puisque les sites servant de support à l’information se démarquent souvent par leurs idées politiques ; toutes informations n’est donc pas bonne à continuer sa route; (mais on n’essaiera pas ici de régler le problème des médias qui souvent sont le relais du pouvoir.) Bref, on comprend encore pourquoi il nécessaire de relier le maximum de réseaux sociaux entre eux; cela évitera à une information de s'éteindre complétement (d'être perdue). Ci-dessous, les images 9 et 10, expriment pourquoi il est primordial que la relation entre les différents réseaux sociaux ne soit pas linéraire, mais multidirectionnelle. En effet, si une information est écartée dans un modèle linéaire (9), alors elle est perdue, tandis que dans le second modèle (10), elle subsiste, puisque elle peut empreinter un autre chemin.




Atteindre les objectifs:

Dans mon introduction, j'avais dis que l'objectif de mon projet de SI était de s'appuyer sur les sites informatifs du Web 2.0 pour générer du profit et créer des places de travail. Je pense en effet que si un tel projet venait à se réaliser, les revenus augmenteraient fortement et des places de travail s'ouvriraient (traducteurs, modérateurs, journalistes professionels on-line, etc.)


En effet, si les réseaux d'informations s'allient, les informations se multiplieront. L'offre sera donc plus conséquente qu'aujourd'hui, ce qui attirera toujours plus d'utilisateurs. Ainsi, les annonceurs de publicité s'arracheront les espaces réservés aux publicités; les prestataires des sites pourront alors les vendre au prix fort. Mieux encore, les prestataires des sites se verront offrir une forte quantité de publicités de types différents. Ils pourront donc choisir si ils veulent afficher une pub pour une célèbre marque de montre ou pour un simple yaourt. Ainsi, avec une publicité proposant un produit haut de gamme, l'image du site sera plus soignée.


Par ailleurs, j'imagine qu'avec l'arrivée du "e-paper" (journal portable électronique) qui ne va pas tarder à être commercialisé, les sites d'informations on-line vont encore progresser. Il convient tout de même que ce qui suit soit toujours respecté:


L'information sur Internet doit se multiplier et évoluer.


Elle doit être facile d'accès.


Elle doit être gratuite ou peu coûteuse.


Elle doit être de qualité (donc contrôlée).


Si tout ceci est en effet respecter et que le "e-paper" (cf. image ci-dessous 11) se répend, je pense que cela signifie la fin des journaux imprimés. Tous les lecteurs, grâce à leur e-paper accederont au réseau mondial d'informations et ils pourront lire ce qu'ils souhaitent. On pourrait encore imaginer un abonnement au "e-paper", pour générer plus de profit.

A noter:

La fin des journaux imprimés ne signifie pas nécessairement le licenciement de journalistes et la faillite d'entreprises. On pourrait très bien envisager que les journalistes "traditionnels" se recyclent en journalistes "on-line". Par ailleurs, un "e-paper" proposant un gigantesque réseaux d'informations et surpassant les journaux imprimés résoudera un gros problème écologique, le papier ne servira plus a imprimer des journaux. On pourrait pousser l'écologie un peu plus loin en créant un "e-paper" écologique en noir et blanc pour économiser de l'énergie; comme le nouveau "dérivé" de google: www.ecogle.fr.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

merci pour intiresny Dieu

Tristan Barrabas a dit…

Qui es tu?