mercredi 16 janvier 2008

RENDU POUR LA CONSIGNE 3


Introduction:

J’ai imaginé une infrastructure d’informations certainement utopique vu que je ne suis pas un expert en économie, en communication et encore moins en informatique ! Voici tout de même mon idée :


Mon projet vise avant tout à s’appuyer sur le succès des sites du Web 2.0, pour tenter de faire du profit et créer des places de travail (pas seulement journalistiques). Mon objectif a alors été d’imaginer un système d’informations stable et fiable, donnant le maximum de postes de travail et boostant l’économie. Parallèlement je voulais que la création de ce système d’information n’engendre aucune concurrence, ni cartels, etc. J’ai donc eu l’idée ambitieuse de relier la quasi-totalité (le maximum) des S.I du monde entier et faire qu'ils forment une unité ; qu’une sorte de chape de plomb les abrite tous. Ci-dessous, vous trouverez une esquisse du schéma que je me représente pour exprimer mon projet (cf. image 6). Juste après vous pourrez consulter les légendes relatives au schéma. Enfin, je donnerai une explication plus détaillée de mon projet et essayerai d'en expliquer les avantages.


---

Schéma:






Légendes pour le schéma au-dessus:

- Etoile rouge = Agences de presse et de photos (ex : AFP, Keystone, etc.)

- Carré jaune = Sites d’informations du Web 2.0 ; comprenant des serveurs, des prestataires, des « hébergements », etc. (ex :
www.20minutes.fr, etc.)

- Petit rond bleu = Internautes actif dans le Web 2.0 (utilisateurs contribuant à l’évolution des sites d’informations du Web 2.0)

- Grande ellipse orange : Réseau social (ce que je désigne par un réseau social, c’est un agglomérat d’utilisateurs actifs sur le Web 2.0 ; ils sont tous reliés à leurs sites favoris d’informations.)

- Trait noir fin = Exprime la relation entre l’internaute actif et les sites d’informations du Web 2.0.

- Trait noir épais = Exprime la relation unidirectionnelle que les agences de presse et de photos entretienne avec les sites d’informations du Web 2.0.

- Trait vert épais = Exprime la relation entre les réseaux sociaux. Cette relation est très importante, elle permet que tous les utilisateurs du Web 2.0 échangent leurs propres articles, qu’ils agrandissent leurs forum de discussion, que les réactions soient plus nombreuses. Ainsi les informations évoluent et se multiplient très vite.



---

Développement du projet:

Avant de continuer l'explication de mon projet personnel, j'aimerais rappeler comment fonctionne actuellement grosso modo un système d’informations sur le Web 2.0 : les agences de presse envoient leurs dépêches aux sites Internet --> ces dépêches sont transformées sous forme d’articles --> ces articles sont lus par les consommateurs --> ceci engendre des forums de réactions, des blogs, … bref, une communauté s’établie autour des sites = réseau social. Voici un schéma qui illustre ceci avec 3 systèmes d'informations distincts; cf. image ci-dessous 7.




Dans mon projet de S.I, les choses changent; il est évidemment indispensable de conserver le contact entre agences de presse (ex: AFP) et médias (ex: 20minutes.fr), car cela forme une base informative. Le changement que j'envisage tout de même à ce niveau consisterait à établir une collaboration entre toutes les grandes agences de presses ; leurs prestataires devraient accepter d’envoyer leurs dépêches à TOUS les grands « supports informatifs informatiques du Web 2.0 » (20minutes, Wikinews, etc.).

Les agences de presses leurs envoient alors respectivement (à tous) leurs dépêches. Puis les prestataires des sites d’infos vont alors traiter les dépêches et les publier sous forme d’articles. Une fois les articles publiés sur les sites, les internautes en prendront connaissance et certains d’entre eux vont y réagir en émettant des commentaires, en ouvrant des débats écrits, en approuvant l’info, en la démentant, en écrivant de nouveaux articles dérivés, etc. Tout ceci forme selon moi, une nouvelle sorte d’information, que l’on pourrait qualifier d’info-digérée. Cette information digérée est donc née des relations entre sites informatifs du Web 2.0 et internautes actifs sur ses sites ; tout ceci réuni forme à son tour, ce que nous avons appelé pendant les leçons, un réseau social (d’informations).

Au jour d’aujourd’hui, je crois qu’un réseau social s’établi principalement autour d’un seul site Web 2.0. C’est pourquoi j’ai eu encore l’idée de relier entre eux TOUS les réseaux sociaux d’informations, afin d’agrandir considérablement l’espace où est véhiculée l’information. Ainsi, un site comme 20minutes pourrait entretenir un lien direct avec un autre site comme Cafebabel et ainsi de suite. Je parle de lien « direct », car les deux sites possèdent déja un lien indirect ; en effet, ils sont tout deux reliés aux mêmes agences de presse et des photos. Bref, le but est de mettre en rapport direct, le maximum de réseaux sociaux d’informations, y compris ceux qui ne communiquent pas dans la même langue. Voici le schéma que je propose pour ce nouveau S.I "mondial"; cf. image ci-dessous 8.





Travailler ainsi, va amener une difficulté, il va falloir engager des traducteurs dans chaque réseau social d’information, afin de traduire le contenu des articles. Mais au préalable, il y a d’autres éléments dont il faut se préoccuper. D’abord, il faut que l’information dite digérée soient contrôlée et évaluée car elle n’est pas écrite par des professionnels. Dans chaque réseau social, du personnel sera donc chargé de sélectionner l’info qui est destinée à être diffusée plus loin dans le monde. Mais ce n’est pas tout ; car l’information qui a été sélectionnée, pour pouvoir réellement subsister, devra à nouveau être modérée à son entrée dans un nouveau réseau social. En effet, il sera nécessaire que les données soient à nouveau filtrées par du personnel, puisque les sites servant de support à l’information se démarquent souvent par leurs idées politiques ; toutes informations n’est donc pas bonne à continuer sa route; (mais on n’essaiera pas ici de régler le problème des médias qui souvent sont le relais du pouvoir.) Bref, on comprend encore pourquoi il nécessaire de relier le maximum de réseaux sociaux entre eux; cela évitera à une information de s'éteindre complétement (d'être perdue). Ci-dessous, les images 9 et 10, expriment pourquoi il est primordial que la relation entre les différents réseaux sociaux ne soit pas linéraire, mais multidirectionnelle. En effet, si une information est écartée dans un modèle linéaire (9), alors elle est perdue, tandis que dans le second modèle (10), elle subsiste, puisque elle peut empreinter un autre chemin.




Atteindre les objectifs:

Dans mon introduction, j'avais dis que l'objectif de mon projet de SI était de s'appuyer sur les sites informatifs du Web 2.0 pour générer du profit et créer des places de travail. Je pense en effet que si un tel projet venait à se réaliser, les revenus augmenteraient fortement et des places de travail s'ouvriraient (traducteurs, modérateurs, journalistes professionels on-line, etc.)


En effet, si les réseaux d'informations s'allient, les informations se multiplieront. L'offre sera donc plus conséquente qu'aujourd'hui, ce qui attirera toujours plus d'utilisateurs. Ainsi, les annonceurs de publicité s'arracheront les espaces réservés aux publicités; les prestataires des sites pourront alors les vendre au prix fort. Mieux encore, les prestataires des sites se verront offrir une forte quantité de publicités de types différents. Ils pourront donc choisir si ils veulent afficher une pub pour une célèbre marque de montre ou pour un simple yaourt. Ainsi, avec une publicité proposant un produit haut de gamme, l'image du site sera plus soignée.


Par ailleurs, j'imagine qu'avec l'arrivée du "e-paper" (journal portable électronique) qui ne va pas tarder à être commercialisé, les sites d'informations on-line vont encore progresser. Il convient tout de même que ce qui suit soit toujours respecté:


L'information sur Internet doit se multiplier et évoluer.


Elle doit être facile d'accès.


Elle doit être gratuite ou peu coûteuse.


Elle doit être de qualité (donc contrôlée).


Si tout ceci est en effet respecter et que le "e-paper" (cf. image ci-dessous 11) se répend, je pense que cela signifie la fin des journaux imprimés. Tous les lecteurs, grâce à leur e-paper accederont au réseau mondial d'informations et ils pourront lire ce qu'ils souhaitent. On pourrait encore imaginer un abonnement au "e-paper", pour générer plus de profit.

A noter:

La fin des journaux imprimés ne signifie pas nécessairement le licenciement de journalistes et la faillite d'entreprises. On pourrait très bien envisager que les journalistes "traditionnels" se recyclent en journalistes "on-line". Par ailleurs, un "e-paper" proposant un gigantesque réseaux d'informations et surpassant les journaux imprimés résoudera un gros problème écologique, le papier ne servira plus a imprimer des journaux. On pourrait pousser l'écologie un peu plus loin en créant un "e-paper" écologique en noir et blanc pour économiser de l'énergie; comme le nouveau "dérivé" de google: www.ecogle.fr.

lundi 5 novembre 2007

RENDU POUR LA CONSIGNE 2 (SUITE)

Modèle de participation:

Par modèle de participation, on n’entend la manière dont les lecteurs (les clients) du site peuvent interagir avec www.20minutes.fr. Il y a une rubrique s’intitulant « La Une des lecteurs» (anciennement: "20 minutes et vous") ; en cliquant sur son onglet, on accède à une nouvelle page Internet : http://www.20minutes.fr/lecteurs.php (titre: la Une des lecteurs) --> cf. Images ci-dessous 4. Les clients du site peuvent y ouvrir des blogs, y poster leurs photos ou alors publier des réactions sur des articles.

L’internaute peut être passif ou actif sur http://www.20minutes.fr/lecteurs.php. C’est-à-dire qu’il peut se contenter d’être lecteur ou alors devenir acteur (animateur, journaliste, bloggeur) de la page en s’inscrivant. Le lecteur est celui, qui consultera uniquement les articles (de la même manière que dans le site principal www.20minutes.fr). La site http://www.20minutes.fr/lecteurs.php, est donc accessible et consultable pour quiconque et ne requiert pas nécessairement une inscription.

En revanche, celui qui désir alimenter les pages (= le site, la rubrique), peut s’inscrire gratuitement et ainsi diffuser ses articles, ses photos, ses réactions et ses blogs. Pour cela le mode opératoire est traditionnel ; on se rend sur la page http://www.20minutes.fr/lecteurs.php et on clique sur l’onglet en haut à droite : « S'identifier pour bloguer ». On remplit ensuite une courte liste de champs (on fournit notamment son e-mail), comme dans une banale inscription.





---

Comment les utlisateurs contribuent-ils au service? :

Les utilisateurs inscrits sur www.20minutes.fr ont plusieurs moyens de contribuer à l’évolution du site :
  • Les questions : un sujet est ouvert (ex : une réaction à un article), une personne est chargée de répondre aux questions des internautes. Les questions et réponses seront publiées. Exemple : « Vous interviewez le fondateur de la Tecktonik ».


  • Les commentaires : les internautes peuvent réagir à un article, une vidéo, [etc.] en émettant un commentaire. Il peut y avoir ensuite des commentaires qui répondent à un commentaire particulier ; cela entraîne parfois de véritables forums de discussions.


  • L’ouverture de blogs : Exemples ; « Municipales – le blog », « Bondy blog », « Le blog de Dieppe », etc. Cela sert à publier ses articles personnels. On peut y déposer ces propres photos (ou alors des photos de Web libres de droit [ldd]), ainsi que des vidéos. C’est une bonne manière, en tant que journaliste non-professionnel, de pouvoir s’exprimer et d’être lu par des centaines de personnes.

  • L'ouverture de débats : Exemple « A quel point êtes-vous attachés à la laïcité? » Les gens peuvent répondre à cette question de la même manière qu’ils émettent des commentaires.


  • Répondre à des sondages : Régulièrement des sondages sont publiés dans toutes les rubriques des sites. Exemple : « Quel programme avez-vous regardez hier soir à la télévision » On coche ensuite notre réponse. Un lien peut nous ouvrir les résultats du sondage en cours.

---

Comment les interventions sont-elles gérées et évaluées? :

Il y a d’abord la modération. Beaucoup des propos tenus sur 20minutes.fr sont modérés. Si l’on est pas inscrit sur le site, les articles sont modérés à priori, tandis que si l’on est inscrit, nos propos sont modérés à posteriori.

Les internautes qui ne sont pas inscrits publient beaucoup plus rarement que les gens inscrits. La démarche d’une personne non-inscrite qui souhaite publier un article, est assez fastidieuse ; il faut envoyer son article aux prestataires du site (ex : moderateur@20minutes.fr) et attendre une réponse positive ou négative ; agir de la sorte, c’est un peu comme si l’on était un pigiste bénévole.

La démarche d’un internaute inscrit est beaucoup plus simple et remporte plus de succès. De surcroît, les contenus qu’il publie sur le site sont directement visibles. La modération d’un article d’une personne inscrite est donc indirecte et non-systématique. La modération s’effectue généralement lorsqu’un internaute alerte des propos qu'ils estiment non conforme à la charte (= les conditions générales d'utilisation) en cliquant sur le bouton "ALERTER". Cette charte est une sorte de déontologie journalistique pour des journalistes qui ne sont généralement pas des professionnels. En cas de non-respect des règles définies par 20 Minutes ou enfreint à la loi, les contenus sont supprimés.


La plupart des propos supprimés d’office sont : les messages publicitaires, les petites annonces, les messages contenant des coordonnées téléphoniques ou une adresse postale, ainsi que les messages ne respectant pas les thèmes proposés. Par ailleurs il y a deux grandes règles à ne pas perdre de vue : respecter l’avis d’autrui et respecter la loi.

Par rapport à la loi, seront supprimés d’office tout propos faisant référence à : la pédophilie, l'incitation à la haine raciale, la négation des crimes contre l'humanité, l'appel au meurtre, le proxénétisme, l'insulte, la diffamation, le piratage informatique, l'incitation à la consommation de drogues, les citations d'auteurs, les copies de messages privés ou de correspondance. Parallèlement à tout cela, il y a encore une charte éditoriale habituelle que s’octroie 20minutes (les prestataires se réservent ainsi leurs propres droits), ainsi que la soumission à la réglementation française des contenus.


Il faut encore ajouter que l’internaute est lui-même chargé d’évaluer ses écrits. C’est ce que l’on appelle logiquement : la responsabilité de l’utilisateur. Cela comprend la fiabilité des informations que l’on divulgue et le fait d’accepter que les prestataires du site ne peuvent être tenus responsables de nos erreurs ou de nos problèmes, etc.

--> Sources principales: conditions générales d'utilisation de www.20minutes.fr + moderateur@20minutes.fr






---


Modèle(s) économique(s) de fonctionnement + Comparaisons avec d'autres services:


Plus qu’une révolution technologique, le Web 2.0 est une mutation idéologique :
  • Gratuité des services
  • Participation des internautes (statut actif)
  • Mise à disposition de nombreux programmes

Toute cette offre a boosté les audiences ; les sites du Web 2.0 connaissent actuellement une très forte affluence. Exemples :

  • You Tube = 4 millions de visites uniques par mois.
  • My Space = 100 millions de pages personnelles enregistrées.

Malgré leur très fort succès, beaucoup de ce genre de sites cherchent encore leur modèle de fonctionnement. Car si le Web 2.0 (= Internet collaboratif & communautaire) est une grande réussite sur le plan de l’inventivité et de l’audience, il doit maintenant faire face à un nouveau défi : la rentabilité. Pour la plupart des sites du Web 2.0, il devient très urgent de trouver un modèle économique, puisque vu le grand nombre de visiteurs qu’ils accueillent, ils doivent investir dans de nouveaux serveurs plus puissants et souvent très coûteux. Il convient donc de monétiser l’audience.

La première solution c’est faire payer ses services (PayPal, carte bancaire + code, sms, etc.), mais cela a pour conséquence inévitable de faire baisser l’audience du site (ex: https://www.linkedin.com/). Et au final le système n’est pas toujours rentable. La solution la plus primée est alors la même que pour le Web 1.0 ; à savoir : la publicité. En effet, les annonceurs paient les sites pour y afficher leurs publicités (images, logos, gifts, etc.). A ce sujet, sur l'imagette juste ci-dessous je vous donne une partie du printscreen des tarifs de publicité de http://www.lexpress.ch/ :




Une autre idée de rentabilité émerge ces derniers temps ; une réflexion affirme que sur le Web 2.0, les internautes font tout le boulot. En effet, ils nourrissent (alimentent) les sites. Alors pourquoi ne pas les laisser générer autres choses que le contenu, c’est-à-dire… du profit ! Fonctionner comme ceci paraît la solution la plus légitime pour les internautes, car en effet, les utilisateurs des sites du Web 2.0 sont ceux qui fournissent la quasi-totalité du « travail » ; ce sont en fait les vrais administrateurs (webmaster) des sites.


Dans cet ordre d’idées, des concepts ont alors émergé ces dernières années, pour permettre aux fervents internautes actifs du Web 2.0 de s’enrichir ; en effet, dans les sites de ventes notamment, les utilisateurs qui recommandent un article, reçoivent une commission générée par la vente de ce produit (ex: http://us.zlio.com/home) ! Des personnes peuvent alors commencer à vivre modestement grâce à leurs actions sur la toile.

Un autre modèle économique reste à citer, mais il devient de plus en plus utopique. Il s’agit du don d’internautes ; des sites comme Wikipédia entre autres fonctionnent sur ce modèle. En effet, ce dernier n’héberge pas de publicité et ne fait pas payer ses services. Le site a alors de plus en plus de mal à s’élargir. Notons tout de même qu’il existe encore des sites du Web 2.0 des sites sans rentabilité ; il s’agit ceux qui fonctionnent sur le modèle du bénévolat.



Après toutes ces généralités, il convient maintenant de nous attarder sur le modèle économique de l’objet de ce blog ; à savoir : 20minutes.fr. Si l’on se rend sur l’accueil du site on peut voire un espace réservé à la publicité dans le haut de la page. En effet il y a une sorte de bande qui fait défiler, en alternance, plusieurs types de pubs. Cela consiste donc en une source de revenus pour les prestataires. Par ailleurs, il est important de mentionner que 20minutes n’est pas uniquement un journal on-line. Il s’agit avant tout d’un journal imprimé (et gratuit), qui fonctionne aussi sur le modèle économique de la publicité. Le succès actuel des journaux gratuits permet aux prestataires du journal imprimé 20minutes de s’enrichir grâces à la pub et ainsi de financer la version on-line (pour payer les charges, acheter de nouveaux services, etc.).

--> Source principale pour le modèle économique: "High-Tech: magazine technologique de 20 minutes" Le Web 2.0 en pleine crise de croissance, mai 2007, p. 1 à 5.

---

Quelques autres éléments:

Dans l'un des chapitres de la définition d'un business model (modèle économique) proposée par Wikipédia, on apprend qu'un modèle économique peut être construit en répondant à une série de questions. Voyons certaines de ces questions ensemble:


Comment les clients sont-ils choisis?


Les clients de 20minutes.fr ne sont pas vraiment choisis. N'importe qui peut s'estimer en mesure de contribuer au site. Les clients restent tout de même surveillés par les modérateurs.


Comment l'offre des produits est-elle élaborée?


Le produit en lui-même (les informations) ne génére pas vraiment de revenus. On ne peut donc pas réellement parler d'offre dans le sens où on l'entend habituellement. Les produits (les articles) sont proposés et réalisés en fonction des informations d'actualité envoyées par les agences de presse, et également pas la conception indépendante d'articles par les utilisateurs. On peut encore noter que l'information n'est pas le seul produit proposé par le site, il y a également les espaces de discussions qui rencontrent un fort succès.


Comment les clients sont-ils conquis et fidelisés?


L'argument principal de "séduction" du client de 20minutes.fr réside dans l'extrême rapidité avec laquelle le site fournit et renouvelle ses informations. La gratuité du site est également un très bon moyen de fidéliser un maximum de clients. Par ailleurs, plus il y a de clients sur http://www.20minutes.fr/, plus les annonceurs de publicité seront tentés de vendre leurs pubs aux prestataires. Ainsi, le site peut s'enrichir et se perfectionner grâce à cet argent.


Comment les ressources sont-elles allouées?


Les revenus servent à payer les charges, à acheter de nouveaux logiciels plus puissants, à perfectionner et à améliorer le site, à proposer de nouveaux services, etc.


Comment les revenus sont-ils redistribués entre les prestataires et les utilisateurs?


Actuellement, 20minutes.fr ne permet pas à l'utilisateur de toucher une partie des revenus que le site génère, malgré le fait qu'ils participent à son évolution.

---

Quelques informations supplémentaires sur 20minutes.fr trouvées sur le Web :

  • Le journal peut être téléchargé depuis son site en format PDF.
  • La version électronique de 20minutes reprend uniquement certains articles de la version papier.
  • Le site figure en cinquième position des sites français d’informations (depuis août 2007).
  • 20minutes.fr est désormais présent sur les iPhone (téléphones) depuis le 21 décembre 2007.

mercredi 31 octobre 2007

RENDU POUR LA CONSIGNE 2

Exercice réalisé en fonction du site: www.20minutes.fr

A noter:
Cet exercice à été réalisé le 31 octobre 2007. Quelques semaines plus tard www.20minutes.fr a subit quelques changements (un lifting). Les réponses (et photos) qui suivent ne sont donc pas toutes valides par rapport à la version actuelle du site. On peut donner l'exemple du choix du "20minutes de votre ville", qui n'est plus sous la forme d'un menu déroulant, mais qui est affiché en en-tête de la page d'accueil; la barre de recherche à elle aussi sensiblement changé d'aspect. Pour ce qui est des rubriques dans lesquelles sont "rangés" les articles, elles aussi changent régulièrement, mais les quatre premières sont toujours conservées (20' à la seconde, Sports, High-Tech, Arts & Stars).

Buts et objectifs :
  • Site français (et exclusivement en français) qui sert à donner de l’information (généralement sur l’actualité).

  • Il s’agit d’informations fournies en continue.

  • Des mises à jour sont continuellement effectuées.

Fonctionnalités:

  • Il y a plusieurs rubriques dans lesquelles se répartissent les informations (articles) : 20' à la seconde, Sports, High-Tech, Arts & Stars, Insolite, Pratique, Services.

  • On peut choisir quels articles on veut lire en fonction de notre ville (ou ville a proximité de chez nous --> éditions locales).

  • Il y a donc un menu déroulant (en haut à droite de l’accueil) qui nous propose de choisir une ville --> cf. Image ci-dessous 1

  • Il y a une aussi barre de recherche ; on peut choisir de rechercher, soit en se redirigeant sur google ou soit sur le site même de 20minutes.fr. Cette fonction peut nous aider à rechercher un article (une info) particulier sur le site ou plus largement sur le WEB (grâce à google). On peut par exemple coché 20 minutes.fr et faire une recherche en tapant le mot « Sarkozy » ; ainsi on aura une tous les articles du site, publiés depuis 2003, contenant le mot « Sarkozy » et de surcroît, classés par dates (du plus récent au plus ancien) --> cf. Images ci-dessous 2-3
  • Possibilité de consulter le site dans le format RSS.

  • http://www.20minutes.fr/ est un site faisant partie du Web 2.0; brièvement, cela signifie qu'il s'oriente vers l'interaction entre les internautes. En effet, les utilisateurs peuvent alimenter le contenu des sites de Web 2.0, en partageant des informations, en créant leurs propres articles, en réagissant, etc. Cela créer donc de véritables réseaux sociaux.





mercredi 17 octobre 2007

TRAVAIL A EFFECTUER

Consigne # 1:
Vous choisissez un service « web 2.0 » dans le domaine de la communication et de l’information (vous pouvez le choisir dans la liste ci-dessous qui vous est proposée ou en choisir une vous-même qu’il faudra faire valider par moi – la liste proposée n’est absolument pas exhaustive mais vise simplement à vous donner des exemples – dans le domaine des médias – du type de service possible. Vous pouvez sans problème vous intéresser à d’autres domaines ou d’autres types de support : photos, vidéos…).
---
Liste:
---
Consigne # 2:
Analysez le service proposé : ses buts, ses objectifs, ses fonctionnalités, les modèles de participation sur lesquels il est basé, le modèle économique sur lequel il fonctionne (ou espère fonctionner)…Comparez avec d’autres services du même type, étudiez ce qu’il est dit « ailleurs » sur la toile de ce service…
---
Consigne # 3:
A partir des technologies et services vus en cours proposez votre propre projet d’infrastructure d’information et/ou de communication. Ne vous limitez pas aux outils existants, imaginez de nouveaux types d'outils et de services. Basez-vous sur l’analyse du service que vous aurez étudié précédemment.
---
Consigne # 4:
Ouvrez un blog/wiki… (il existe de nombreux services gratuits vous permettant d’ouvrir après inscription et quelques clicks de souris un tel type de service – facebook, myspace, blogspot…) et utilisez-le comme support de rédaction de votre travail en 2) et 3). Utilisez au mieux les fonctionnalités de l’outil pour présenter, structurer et illustrer votre travail.

PRESENTATION DU BLOG

Ce blog sert de support à un travail universitaire. En effet, dans mon cursus, j'assiste à un cours dénommé "Introduction aux technologies de l'information & de la communication"; voici une description de ce dernier :
...
Les premiers temps des systèmes d’information en ligne avec Internet et plus particulièrement le Web ont vu l’explosion de la mise en ligne de quantités gigantesques d’informations. Au-delà de l’aspect technologique, est venu maintenant le temps de leur organisation, de leur valorisation et de leur(s) utilisation(s) grâce notamment à des environnements et des services collaboratifs incitatifs centrés sur l’usage et l’utilisateur. Ce cours présente les technologies, les applications et les utilisations des systèmes d’information en ligne et de communication actuels et émergents. Il traite notamment de l’architecture et des outils Internet, des moteurs de recherche, des gestionnaires de contenu, des plateformes collaboratives et communautaires, des réseaux sociaux, du pair à pair (peer to peer ou P2P), de la diffusion de contenus multimédia (podcast, vidcast, photofeed…) et du Web 2.0 avec entre autres les blogs et wikis, la syndication de contenus (flux RSS), la géolocalisation et les géoportails… Le cours abordera aussi les aspects liés à l’édition, la publication et le commerce en ligne, les droits d’auteur (licences Creative Commons, Open Access et mouvement dit du « Libre »), la gestion numérique des droits (Digital Rights Management ou DRM), l’éthique et la sécurité des systèmes d’information. Le cours évoquera enfin l’évolution du web : Web Sémantique, Web 3.0, environnements de réalité virtuelle et contenus 3D interactifs, environnements de jeu de rôle en ligne massivement multi-joueurs (MMORPG type Second Life). L’objectif du cours est de développer à la fois les éléments techniques de base et les fonctionnalités des technologies de l’information et de la communication permettant de maîtriser et de comprendre les capacités et les limites des technologies de l’information et de la communication et leurs implications dans et pour la société de l’information.

ACCUEIL


17 octobre 2007
"J'ai ouvert mon premier blog."
- Tristan Barrabas -
***